J'ai les boules depuis quelque temps..
Aucune envie de travailler
Aucune envie de sortir
Aucune envie de voir le monde
J'ai la flemme de reprendre
Fais chier :S
mercredi, février 28, 2007
Assez!
dimanche, février 11, 2007
Mon aventure avec les Soldes...
J'ai essayé plusieurs fois d'écrire un post là dessus.. mais je n'y arrive pas! j'ai trop de remords :)
C'était un spectacle à voir: les grandes pancartes de partout, qui t'incitent à t'enfoncer dans le monde des soldes, et qui t'aveuglent les yeux, et te capturent l'esprit. Les gens qui se bousculent, qui se heurtent, on dirait une course, ou bien nasbet frippe fi sidi mana3rech chkoun...
lui : un tableau de nombres, qui me rend plus mal à l'aise que jamais!
l'arme fatale! plus de carte, plus d'argent, plus de soldes, plus de remords ! je ne sais pas.. je n'arrive pas à me décider..
A la recherche du bonheur
Voilà, cher journal, un mois après, je sentais le besoin d'imprégner sur tes pages : I'm fine! je crois que c'est Falleg qui a dit : si un peuple touche le fond, il ne peut que remonter. Je ne sais pas si ça s'applique aux individus aussi, mais en tous cas, ça me va comme doctrine.
Depuis quelque temps, chaque fois que je vis un moment, sans que ça soit exceptionnellement fort, je m'interroge: est ce que je suis heureuse, là? en cet instant? en cette seconde?
Je suis obsédée par cette idée de bonheur, c'est peut être un phéomène de mode, un tic, une manie, je n'en sais rien.. mais ça me devient une obsession, une dépendance.
J'ai réalisé qu'en fin de compte, j'étais, sauf chagrin vraiment énorme, souvent heureuse; les petites failles entre les ''souvent" étaient comblés par des moments de vide, d'absence de sentiment, de néant. C'étaient des pauses entre deux bonheurs successifs. Ou des moments de posage de questions.
Revenons à mes moments de bonheur: la cause est souvent futile et anodine.. très futile, trop futile. Je me demande même s'il n'y pas mieux pour créer un bonheur. Sauf que vivre dans les futilités, ne sert pas vraiment à grand chose, tant qu'on réalise pas qu'on est heureux. Enfin.
Je cite en un mois et demi ce qui a causé mes épanouissement les plus intenses: une glace au chocolat, le moment où je montais les escaliers pour regarder un épisode de Sex & The City, dormir avec une nuisette, les coups de fil de ma mère dans la journée, un fou rire le soir à l'internat, quelques discussions sur msn, une bonne note et un mail. Les autres états étant moins intéressants à signaler. Est-ce que j'en manquais avant? non. Peut être la nuisette ^^ . Je me permets des folies dans ma petite cellule ^^. Est-ce le fait que je les réalise qui me les rende plus intenses? je ne pense pas. Ils ont été, là, tout pétillants, avant même que ma cervelle commence à bourriner... En tous cas, je les savoure.
Peut être parce que je m'assume mieux. Ou que, ayant perdu toute tendance à rêver, je suis plus réaliste. Ou encore que je me reconstruis. Je reconstruis mes rêves, ma personne, mon bonheur.
Enfin, les hypothèses étant trop nombreuses pour ma petite cervelle, je préfère ne rien savoir.
En gros, j'aime ce que je suis en train d'endurer.
Enfin, quelqu'un a dit un jour: La recherche du bonheur est la recherche de nous-mêmes. Le bonheur est différent pour chacun de nous ; il est différent comme les vocations : identique et uniforme, il serait sa propre négation. J'aime bien cette citation.